Malgré la pugnacité des négociateurs CGT et quelques maigres avancées, la DG a refusé, une nouvelle fois, d’indiquer clairement que le télétravail est un droit pour les agents.
De fait, cette absence d’un droit opposable va de pair avec une mise en œuvre à la main des managers déjà présente dans l’accord précédent et poursuivie avec le prochain.